On s’attaque aujourd’hui à un sujet aussi coriace qu’important : les idées reçues sur le viager ! Trop souvent caricaturé ou mal compris, ce dispositif représente pourtant un levier financier considérable autant pour le vendeur que pour l’acquéreur.Voici donc 6 idées reçues sur le viager, décortiquées avec clarté par Viagerbel, expert du viager en Belgique.
« Le viager, c’est parier sur la mort »
S’il y a bien une idée reçue tenace sur le viager, c’est celle qui le réduit à un pari macabre sur la durée de vie du vendeur.
La réalité est tout autre. En Belgique, le viager est un contrat juridique très encadré. Le montant du bouquet, ainsi que les modalités de la rente, notamment le montant et la durée, sont définis dès le départ. Il ne s’agit donc pas d’un pari sur la vie du vendeur, mais d’un mode d’acquisition alternatif et encadré.
L’avis de Viagerbel : avec l’instabilité actuelle des taux d’intérêt, le viager apparaît comme une alternative sérieuse au crédit classique. Pas de prêt à négocier, ni d’intérêts à rembourser. Le viager est une solution d’investissement pensée comme un partenariat équilibré.
Le saviez-vous ? En Belgique, le contrat de viager s’arrête au décès du crédirentier. Le débirentier devient alors pleinement propriétaire du bien, sans démarches ni frais supplémentaires.
« Le viager, c’est immoral »
Le viager serait aussi une opération cynique, fondée sur la spéculation autour de la fin de vie d’une personne âgée.
Pourtant, le viager porte une véritable dimension sociale; voire même sociétale, en participant à une transformation durable de notre rapport à l’habitat et à la transmission du patrimoine. Il offre la possibilité au vendeur de continuer à vivre dans son logement en sécurité. La perception d’un revenu permet aussi d’améliorer la qualité de vie et/ou de financer des projets.
L’avis de Viagerbel : le viager, loin d’être immoral, redonne du pouvoir aux seniors. Ce n’est pas une démarche opportuniste, mais un modèle fondé sur la réciprocité et le respect des besoins de chacun.
Le saviez-vous ? Le viager séduit de plus en plus. Son développement s’accélère d’année en année, porté par un intérêt croissant des vendeurs comme des acheteurs.
« Le viager, c’est trop compliqué »
Pour beaucoup, le viager rime avec paperasse, calculs difficiles et jargon juridique incompréhensible.
Si comme toute transaction immobilière, le viager demande un cadre clair et des étapes précises, rien n’est insurmontable. Avec les bons interlocuteurs, chaque étape peut se dérouler de façon fluide et sécurisée.
L’avis de Viagerbel : l’accompagnement est la clé. Grâce à des outils, des diagnostics et un suivi personnalisé, une étude viagère peut aujourd’hui être finalisée en quelques semaines. Résultat : le viager devient une solution fluide, compréhensible et parfaitement accessible, même pour les non-initiés.
| À lire : Comprendre le viager |
« Le vendeur doit être très âgé pour que ça vaille le coup »
L’idée reçue veut que le viager ne soit intéressant pour l’acheteur que si le vendeur est très âgé.
En pratique, plus le vendeur est jeune, plus son usufruit sera important, car les calculs se fondent sur l’espérance de vie. Ainsi, dans un cas similaire, la rente versée est plus faible et le coût d’acquisition global peut devenir plus avantageux. Ce n’est donc pas l’âge qui détermine la pertinence d’un viager, mais l’équilibre entre le prix, la durée prévue et l’usage du bien.
L’avis de Viagerbel : le viager intergénérationnel se développe de plus en plus en Belgique. Un vendeur de soixante-cinq ans et un acquéreur plus jeune : une configuration de plus en plus courante, qui permet d’investir dans la pierre sans mobiliser un apport important.
| À lire : L’espérance de vie dans le calcul de la rente |
« Le viager ne profite qu’à l’acheteur »
Une autre croyance voudrait que le viager soit surtout une bonne affaire pour l’acheteur, qui profiterait d’un bien à prix réduit au détriment du vendeur.
En réalité, le viager repose sur un équilibre clair entre les deux parties. Le vendeur perçoit un apport immédiat de liquidités, et un revenu récurrent, idéal pour compléter une pension, financer un projet ou anticiper une transmission. De son côté, l’acheteur acquiert un bien à moindre coût, sans devoir en assumer immédiatement la pleine propriété ou la gestion.
L’avis de Viagerbel : le viager est l’exemple même d’une solution gagnant-gagnant. Et dans le cas d’un viager libre, l’acquéreur peut occuper ou mettre en location le logement dès la signature. Un levier d’investissement concret, immédiat, et bien plus accessible qu’il n’y paraît.
« On ne peut vendre qu’une résidence principale en viager »
Beaucoup pensent que le viager ne peut concerner qu’une résidence principale.
La réalité est tout autre. En Belgique, tout bien immobilier peut être vendu en viager, dès lors que la situation juridique le permet. Résidence secondaire, bien loué… Les possibilités sont bien plus larges qu’on ne le croit.
L’avis de Viagerbel : le viager n’est pas limité à un seul type de bien. Chaque cas doit en revanche faire l’objet d’une étude personnalisée, avec un calcul de rente adapté, pour que la vente corresponde aux objectifs de chacun et à la législation.
| À lire : Après mon décès, que devient le locataire de mon bien en viager occupé ? |
Conclusion
Le viager n’a rien d’un pari ni d’un casse-tête. En Belgique, c’est une solution sécurisée, équitable et bien encadrée. Avec Viagerbel, expert du viager, vous êtes accompagné à chaque étape, que vous soyez vendeur ou acquéreur. Envie d’y voir plus clair ? Contactez Viagerbel et construisez un projet sur-mesure, adapté à vos besoins !
Viagerbel —
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